
Nos ouvrages



Le château de Chambord
Sans doute un ancien pavillon de chasse des comtes de Blois avant 1498. Totalement reconstruit à partir de 1518 par le roi François Ier…

Le Château de la Rochepot.
Edifié au XIIIème siècle par une illustre famille bourguignonne, les seigneurs de Pot, le château remanié plusieurs fois fut quasiment détruit pendant la Révolution. Ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle que l'édifice subit une rénovation à l'identique qui a duré près de trente ans. Ce livre revient sur la construction du château et offre une visite des parties publiques mais aussi privées.

Le cheval dans l'Art
Histoire des représentations artistiques du cheval, des cavaliers et des usages du cheval par l'homme pour la guerre, les transports, les loisirs, etc. Présente des oeuvres de Carpaccio, Clouet, Le Brun, Stubbs, Chassériau, Degas, etc.



Le Comte et le Manant
La peur de la faim, de la peste, la colère du pauvre ou de l'exploité...En 1643, dans une petite ville du Sud-Ouest, des hommes s'assemblent, disent leurs peurs dans une révolte contre les collecteurs d'impôts. Ils courent la campagne, affolent les autorités et les possédants, s'organisent dans l'espoir d'une vie moins injuste où ils pourraient rêver du lendemain. Mais les tenants de l'ordre ne manquent pas d'avoir le dernier mot. Rien ne manque à ce tableau haut en couleurs de la France au temps de Richelieu et de Mazarin où s'entremêlent harmonieusement personnages de fiction et héros de l'histoire.

Le credo anti-nucléaire
Faut-il « sortir du nucléaire » ? Depuis Fukushima, il apparaît que le débat, dominé par les écologistes, est clos. Ce livre ouvre enfin la discussion : sur tous les sujets sensibles – sûreté des installations, devenir des déchets, étapes et coût du démantèlement des centrales, distance entre nucléaire civil et prolifération, coût du nucléaire –, Pierre Bacher démonte soigneusement les articles de foi du credo antinucléaire, nous donne les cartes pour évaluer le pour et le contre, afin que chacun puisse se forger une opinion Informée.

Le dernier amour d'Aramis
Des quatre vaillants hommes dont nous venons de raconter l'histoire, il ne restait qu'un corps, Dieu avait repris les âmes. Ainsi se termine le Vicomte de Bragelonne, dernier volume de la trilogie entamée par Alexandre Dumas avec les Trois Mousquetaires, poursuivie avec Vingt arcs après, soit deux mille pages et un mythe international. Le " corps " rescapé était celui d'Aramis, le plus secret, le plus raffiné des quatre héros. Jean-Pierre Dufreigne retrouve ici celui qui fut évêque, général des Jésuites et grand d'Espagne, à la fin du XVIIe siècle, quand il est temps, pour le vieil homme enfermé dans son palais de Saragosse, d'écrire ses Mémoires pour l'instruction de sa filleule, une orpheline qui lui rend visite. Entre le prince de l'Eglise, aveugle par la grâce de Dieu, et la vicomtesse, libertine au goût du jour, jaillit l'étincelle.

Le dernier des Médicis
Les Médicis : une famille dont la gloire se confond avec celle de Florence. Une lignée de banquiers et de mécènes exceptionnels, qui ont incarné la perfection de l'esprit humain. Et pourtant le dernier d'entre eux avec lequel s'est éteinte la race, Gian Gastone, mort en 1737, reste enveloppé de mystère. Ce fut un prince si extravagant, si scandaleux que les historiens passent son règne sous silence. Le narrateur, ici, est son médecin personnel, qui retrace le milieu où il a grandi, évoque ses premières incartades, puis son mariage ahurissant avec une princesse allemande et son transfert en Bohême. Après le fiasco conjugal, retour en Toscane et début d'une longue déchéance. La peinture et la musique, si importantes dans la vie de Florence, ont joué un grand rôle dans l'évolution de Gian Gastone ; mais ce fabuleux patrimoine culturel, loin de le rendre fier, pesa sur lui et le poussa, en réaction contre cet héritage trop lourd, à s'enfoncer sciemment dans la débauche

Le dessin français au XVIIIè siècle.
L´auteur montre en quoi le 18ème siècle est l´âge d´or du dessin français: enseignement strictement codifié, théories foisonnantes, artistes exceptionnels (Watteau, Boucher, Fragonard, Greuze, Saint Aubin, Hubert Robert...) vont de paire avec un goût croissant de l'époque pour le dessin (développement des collections, des ventes publiques, des Salons...).


Le fantôme de Robespierre.
Maximilien Robespierre était-il un saint ou un monstre ? Au lieu d'une analyse austère sur l'enchaînement qui a conduit la Révolution française à dévorer les siens, ce livre offre un récit de pure fantaisie sur les suites du 9 thermidor an II.

Le Faucon du Siam
En 1679, à vingt-cinq ans, Constantin Phaulkon, marin anglais d'origine grecque, débarque dans le royaume du Siam, alors à l'apogée de sa magnificence. C'est aussitôt le coup de foudre. Il adopte le mode de vie local, apprend la langue, s'introduit à la Cour, où son intelligence et son habileté lui vaudront de devenir le Barcalon ou Premier ministre du roi, qu'il incitera à faire alliance avec la France de Louis XIV pour contre-balancer les appétits commerciaux et coloniaux de la Hollande, du Portugal et de l'Angleterre. Mais bien des intrigues agitent le petit monde raffiné et subtil des courtisans ...

Le Grand Atelier du Midi.
Expositions à Aix et à Marseille : "Eblouie, déconcertée, la génération des Monet, Renoir, Van Gogh aborde la Provence comme un pays artistiquement inconnu. Quelques années plus tard, Changement d'optique.Défiché, reconnu, le Midi est devenu le lieu où s'élaborent de nouveaux courants, Fauvisme et cubismes entre autres."

Le grand siècle au pays de Meaux. Bossuet
Bibliothèque et Musée de Meaux, exposition du 16 septembre au 28 novembre 1982.
