S’enrichir sous l’Ancien Régime.

"Lorsqu'il est question d'enrichissement sous l'Ancien Régime, l'exemple de quelques hommes d'Etat vient en tête : Richelieu, Fouquet... S'enrichir est alors communément résumé à une  confusion volontaire entre fortune de l'Etat et fortune privée, au détriment du peuple ou de la monarchie. La situation est, on s'en doute, plus complexe. L'enrichissement peut concerner une partie plus importante de la société, grâce à l'achat d'offices par exemple. Et surtout une connotation positive peut tout à fait être accolée à l'enrichissement, comme le défend le mercantilisme".