Les chinoiseries de François Boucher.
Histoire de l'art
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Chaque cours de ce cycle est consacré à un ensemble pictural occidental inspiré par une culture extra-européenne d’Asie, d’Afrique, d’Océanie ou d’Amérique. Ce « face-à-face » permet d’observer comment les regards mutuels entre les civilisations peuvent enrichir les inspirations des uns et des autres.
Chaque cours de ce cycle est consacré à un ensemble pictural occidental inspiré par une culture extra-européenne d’Asie, d’Afrique, d’Océanie ou d’Amérique. Ce « face-à-face » permet d’observer comment les regards mutuels entre les civilisations peuvent enrichir les inspirations des uns et des autres.
Vers 1740 François Boucher reçoit de Jean-Baptiste Oudry, responsable de la manufacture de Beauvais, la commande de cartons de tapisseries. Boucher, au fait de sa célébrité, livre bientôt dix « modelli », qui seront amplifiés pour être convertis en cartons et qui illustrent un thème très en vogue à l’époque : la « chinoiserie ». Mais la Chine de Boucher, pourtant inspirée par les objets orientaux qui affluent vers l’Europe, n’est pas toujours proche de la réalité…
Lieu de la conférence
Maison des syndicats
71100 Chalon sur Saône
Documents
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Présentation cinoiseries de François Boucher
Contenu réservé aux adhérents
Audio
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Enregistrement chinoiseries de François Boucher
Contenu réservé aux adhérents