François 1er, entre chevalerie et modernité

Roi chevalier, vainqueur à Marignan mais battu à Pavie, roi très chrétien pourfendant les hérétiques mais allié du Turc ; prince de la Renaissance, mécène, bâtisseur et protecteur des lettrés et des artistes. Ces images, bien connues, ont fait disparaître l’action d’un monarque, aux antipodes de ce qui le rend célèbre aujourd’hui.

Ces 32 ans de règne recèlent encore bien des surprises aux historiens, au-delà du récit convenu qui en a longtemps été fait.