Courbet 2 sur 2 nus,scènes de chasse, scènes de genre, marines et paysages

« Avec cette sûreté de main et cette clarté de regard, Courbet était apte à peindre tout ce qu’il voyait. », peut-on lire dans la préface d’un catalogue d’exposition de 1882.
En effet, Gustave Courbet (1819-1877) occupe une place atypique dans l’école picturale française du XIXe siècle.
Autoproclamé chef de file du réalisme en 1855, Courbet traque la vérité en peignant ce qu’il voit, que ce soit les paysages de son Jura natal, où il aime fréquemment se ressourcer ou bien ses contemporains : « L’enterrement à Ornans », « Les cribleuses de blé », « L’Hallali du cerf », « L’Origine du monde », « Bonjour M. Courbet »… appartiennent à une très longue liste d’oeuvres à redécouvrir…
Artiste engagé dans ses combats – contre l’Académie de peinture, contre l’Etat napoléonien – avec la forte volonté de réformer la Peinture, Courbet ouvrira aussi la voie aux peintres du XXe siècle.

Cette conférence sera consacrée à ses nus,scènes de chasse, scènes de genre, marines et paysages